On me dira peut être qu’une des raisons de sa présence dans mon abécédaire tient dans la première lettre de son nom.
Ce serait injuste.
En lui, j’ai en effet reconnu un vrai républicain courageux qui malgré des menaces de toutes sortes n’a jamais craint d’afficher ses idées :
– pour l’appartenance à la République française, il a fait battre Nicolas Sarkozy.
– contre une Europe ultra-libérale, il a fait voter NON le 29 mai dernier.
– pour une gauche fière d’elle-même, il sera, j’en suis sûr du bon coté en 2007.
Il m’a réconcilié, je l’avoue, avec le concept de « Radical de gauche ».