Il est l’un des derniers grands aventuriers qu’ont admiré les gens de ma génération. Personne n’a oublié son épopée.
Il fut aussi l’un des premiers écologistes et qui, de plus, a su le rester toute sa vie, une vie “qu’il a croquée avec délice”.
J’ai fait sa connaissance au Parlement européen en 1989 et nous y avons entretenu des relations chaleureuses.
J’ai même eu l’honneur en1991 à un moment où il était souffrant de le suppléer dans la rédaction et la discussion d’un rapport sur l’élevage des mollusques bivalves afin de les rendre propres à la consommation.
En 1994, il sera “remercié” par le PS, comme beaucoup d’autres collègues, pour laisser la place à plusieurs anciens ministres battus en 1993.
Il retrouvera une Provence qu’il ne quittera plus.