Le mal n’est pas nouveau mais dans le monde d’aujourd’hui, il est particulièrement mortel.
Les échanges commerciaux et les mouvements humains sont mondialisés, sinon universels.
La xénophobie, qui se définit comme une “hostilité envers les étrangers”, ne peut, dans ce monde, que conduire à la haine et à la violence surtout si elle se superpose à des rivalités religieuses exacerbées.
Le seul moyen d’éviter la catastrophe suprême, c’est d’opposer à la xénophobie la tolérance et la laïcité.
C’est un beau combat en ce début du 21ème siècle.