Carnet n° 234 du 25 février 2013

« Top départ ! »

 

C’est donc avant hier, samedi 23 février 2013, 2 jours avant le début de la distribution d’une lettre aux Villeneuvois publiée par Rassemblement Citoyen, que j’ai rendu publique mon intention d’être candidat en mars 2014.

 

Cette annonce et sa date n’ont pas surpris celles et ceux qui me connaissent bien et qui savaient l’intensité de ma réflexion en la matière depuis au moins 6 mois, une réflexion, elle aussi en forme de triptyque. Quelles raisons ? Quelles bases ? Et quels objectifs à cette candidature ? Sans oublier, bien sûr, des conditions préliminaires : en ai-je encore les capacités et donc la forme ? L’envie et donc la volonté ? Un vrai sentiment d’utilité ?

 

En ce 23 février 2013, une date aujourd’hui pour moi aussi importante que le 27 février, en conscience, j’ai répondu positivement à toutes ces questions.

 

Dans la continuité de ce qui aura été la feuille de route de ma vie publique, « mon choix villeneuvois »,

j’ai pris ma décision pour terminer les dossiers en cours, continuer à gérer le quotidien des citoyens en proximité avec eux, assurer définitivement un avenir dynamique et rayonnant à notre ville, valider et élargir les nouvelles équipes mises en place en 2008 et qui ont largement montré leurs qualités.

 

Le « top départ » étant donné, la pré-campagne va bientôt commencer avant de s’accélérer sans doute après l’été pour déboucher sur une élection en mars 2014 où ce sont les villeneuvois(es) et eux seuls qui diront leur choix quant au maire et à l’équipe qui les représenteront entre 2014 et 2020.

 

En démocratie, et c’est ce qui fait sa richesse, si la décision d’être candidat est personnelle, être élu est le résultat d’une décision collective, celle des citoyens-électeurs.

 

Alors, bien sûr, on peut faire des supputations et même des sondages comme celui réalisé par l’IFOP, commandé par Rassemblement Citoyen, après d’ailleurs que j’ai remis chez un imprimeur le texte de ma lettre aux villeneuvois annonçant ma candidature, il n’en reste pas moins vrai que le résultat ne sera connu que soit le 9 mars 2014 après 18h, à l’issue du premier tour, soit le 16 mars, si un deuxième tour est nécessaire.

 

Concernant le sondage de l’IFOP, je n’en donnerai aujourd’hui qu’un élément car il dépasse largement le contexte et les perspectives politiques dont nous parlerons plus tard.

 

A la question : Êtes vous satisfait de vivre à Villeneuve d’Ascq ? 96% des Villeneuvois ont répondu OUI (dont 63% qui se sont dit « très satisfaits », un chiffre à comparer avec les 29% pour l’ensemble des Français).

 

A partir de maintenant, je suis bien sûr ouvert à toute discussion sur toutes les formes de collaborations individuelles ou collectives aux seules conditions de partager un même amour de Villeneuve d’Ascq, une même volonté de servir ses habitants, un même cadre éthique Républicain et de progrès.

 

A partir de maintenant, et je dirai surtout, nous allons parfaire notre bilan 2008 / 2014 et affiner notre « Projet Pour VA 2014/2020 ».

 

Même s’il est important de savoir qui sera en responsabilité, il est plus important de savoir pour quoi faire, pour mettre en œuvre quel projet, ce qui n’est pas simple en période de crise où les lendemains sont très « embrumés »…

 

C’est là, peut-être, que mon expérience prend et prendra tout son sens tout comme ma proximité citoyenne qui n’est plus à démontrer.

 

Et on m’autorisera à ce stade de redire que, si en 2012, j’ai voté pour le changement proposé par François Hollande, qu’on n’attende pas de moi que je dise aujourd’hui le contraire de ce que je disais avant le 6 mai 2012, que ce soit en matière de crédits d’État pour le logement, de dotations de l’État pour les communes, les rythmes scolaires, la sécurité et la politique de l’État vis-à-vis des implantations illégales de populations roumaines dans nos quartiers.

 

On m’autorisera bien sûr aussi à redire que notre Président, sur les dossiers européens, a contribué à initier un nouveau virage, qu’en ces périodes de doutes, notre agriculture, l’agriculture française « vire en tête », et que nos potentiels de recherche et d’innovation sont tout à fait déterminants.

 

On l’aura compris, face à la crise je reste un incorrigible optimiste à condition d’unir et de rassembler celles et ceux qui croient en l’avenir et qui se refusent à nous affaiblir collectivement pour des enjeux politiciens.

 

A l’instar de JF Kennedy je suis de ceux qui pensent :

 

« Qu’il ne faut pas sacrifier ses convictions pour être dans l’air du temps »

 

et comme Louis Pauwels je dis qu’il faut :

 

« Vaincre tous les obstacles qui nous empêchent de nous surpasser ».

Lien Permanent pour cet article : http://www.gcaudron.com/?p=1740

HTML Snippets Powered By : XYZScripts.com