Ne voulant pas attendre demain lundi et la rédaction de mon carnet hebdomadaire qui portera sans doute comme titre « Chauffe un marron » (extrait d’une chanson humoristique de Pétula Clark)
pour dire ma colère… et ses conséquences, non pas uniquement à cause des émeutes que nous vivons en France mais, aujourd’hui principalement, à cause de certaines « réactions politiques » qui sont bien à l’image de leurs auteurs, je veux aujourd’hui dimanche avec « un carnet spécial » pousser comme on le dit mon » coup de g…. «
La France, depuis plusieurs jours, « brûle de partout » avec des scènes d’émeutes qui, dans certaines villes comme Roubaix, ont des odeurs de guerres civiles.
Les Français souffrent, principalement les plus modestes, les forces de l’ordre et les pompiers n’en peuvent plus, des bâtiments publics sont incendiés, des magasins sont pillés, des maires et des élus locaux sont menacés et agressés…
tandis qu’ «on cherche à comprendre » les stratégies variables du Président de la République et de son gouvernement ..
D’où ma colère quand j’entend Mr Mélenchon et les siens de L.F.I. dont d’ailleurs le député de notre deuxième circonscription… (et bien d’autres) qui se succèdent sur les télés pour dire qu’ils et elles refusent d’en « appeler au calme » .
La voix du Nord de vendredi nous rapporte en effet que si Mr Ugo BERNALICIS a déclaré devant la mairie partiellement incendiée de Mons en Baroeul sa « solidarité envers les services municipaux », et « aux monsois qui vont à la salle Allende où (il) va souvent », il a ajouté : « mais en appeler au calme n’a pas de prise », se refusant ainsi de lancer « cet appel au calme » !…
Un refus que l’on entend de la part de tous les élus et dirigeants L.F.I,
la palme revenant hier à leur « chef » Mr Mélenchon, qui (toujours dans la Voix du Nord) en appelle , je cite,
« notamment aux plus jeunes » à « ne pas toucher aux écoles et bibliothèques, notre bien commun » ,
ce qui, pour lui et avec lui, laisse « un champ libre pour tout le reste » en termes de destructions, d’incendies et d’agressions de bâtiments publics, de mairies, de CCAS, de commerces, d’élus et leurs familles…
J’hallucine et je le redis : si on peut à leurs propos, parler d’extrémisme et d’extrémistes il est « indécent « d’y ajouter « de gauche ».
Très clairement, en tant que Social-démocrate Républicain, jamais je ne voterai pour un candidat(e) étiqueté(e) L.F.I. … ni d’ailleurs pour un(e) candidat(e) dont le parti est allié à ce même L.F.I.
« qu’on se le dise… » !
G. CAUDRON
Le 2 juillet 2023
Tout au long de ma vie, j’ai aimé écrire et ce, depuis 1960.