On se souvient de « l’affaire des banderoles » que j’avais fait apposer sur le fronton de l’Hôtel de Ville de Villeneuve d’Ascq pour la libération de Gilad Shalit jeune soldat franco-israélien séquestré par le Hamas à Gaza et de Salah Hamouni, jeune citoyen franco-palestinien en prison en Israël.
On se souvient peut-être des tombereaux d’injures et d’insanités que cela m’avait valu en provenance des deux cotés.
Aujourd’hui, en cette fin 2011, ils sont tous les deux libres… enfin !
Comme quoi, dans la vie politique, il n’est jamais facile d’avoir raison trop tôt…
Mais qu’on s’en rassure ou qu’on s’en inquiète… je n’ai pas l’intention de changer!
« On ne m’enlèvera pas ma liberté de penser », ni de parler… ni d’agir